Que faire ? Que dire ? Nous ne sommes pas dans une bonnes positions, et pourquoi cela? Parce que nous sommes des impures, des êtres qui sont par amours, ou bien par viols... Des erreur de la nature pour tout les royalistes de ces terres. Tristesse, notre monde n'est que tristesse, j'ai envie de leur cracher au visage... Je me promène de territoire au territoire, et a chaque fois les même regards, et après il se plaindront qu'on à la haine contre eux, mais c'est normal vu comme ils ne nous respectent pas...

En ce moment, je me promène sur le territoire du Royaume de Feu, et je gravis une montagne, pas très grandes mais avec une herbes des plus savoureuse, je me stoppe arrache une touffe d'herbe, et reprend mon ascension. Je me sens observés, et j’entends un bruit de sabot. Je reste sur le qui-vive mais je continue sans rien dire, sans y faire attention...
Au bout de plusieurs minutes j'arrive en haut, je suis un peu déçu, je pensais voir mieux l'horizon. Un petit sourire s'affiche au coin de mes lèvres, je vois le jardin d'Eden du territoire de la Terre, un endroit que je trouve très jolis, remplit d'une ambiance vraiment particulière.
Et toi inconnu, que me veux-tu?

L'inconnu apparu enfin devant mes yeux, un étalon aux allures noble, et à la robe cuivrée. Il me regardait avec un air au dessus de tout, et en plus il émit un ronflement des plus bruyant accompagné d'une phrase qui ne me plu guère...
On sentait le sang pur qui émanait de lui, il ce montrait trop royaliste à mon égard.
Je redressa la tête avant de lui répondre:

- "Tu" est un peu précipité, nous ne sommes pas amis, ni simple connaissance... Enfin pour votre réponse et bien je suis de passage, je me promène à la recherches des plus beaux paysage...

Un petit sourire s'affiche sur mes lèvres, oui je regarde le paysage, j'étudie les royaumes, ils sont tous plus magnifique que les autres et regorgent de grandes ressources et pourtant leurs hôtes ne sont pas partageurs.
Et je ressens en cet individu qu'il n'aime pas trop que j’empiète sur le territoire du Feu. Si ça ce trouve c'est un de ces maitres a la noix qui se croit plus fort pour nous traiter de bâtard des royaumes....

Aucune politesse, il crache juste de la haine, se croyant plus fort que tout, et en plus il parlait de trop ah la la, i m'oblige aussi a parler:

-Et bien la politesse ne fait pas partis de vous. Je me nomme Adonis, n'appartenant à aucun royaume, juste à moi même... Mais comme vous le dites si bien vous les maitres je ne suis qu'un bâtard de la Terre et de l'Air.

Mes pupilles noires ce plantent dans le regard du cheval de feu, avant de reprendre:

-En tout cas je ne cherche pas à vous provoquer, cher Break... La Nature appartient à la Nature et non à une personne, enfin c'est mon avis personnel, je ne fais que l'observer, il n'y a rien de mal à cela...

Je penche la tête de côté, curieux de voir un équidé du feu, je n'avais encore jamais vraiment parlé à un de ses membres et qui plus est le maitres. A chaque fois que j'en avais croisé un de toute façon on m'évite tel la peste... Mais je suis comme tout le monde, j'ai quatre membres, une tête et un corps fait tout a fait pareil qu'eux, la seules différence c'est que j'ai deux dons. C'est la seule chose qui nous différencie, moi et Cronn de tous...

Je grimaçe, décidément, il n'y avait pas un Maitre pour relever l'autre tous les même idées, a vivre dans l'ancienneté, même pas un peu de modernité dans leur façon de vivre, je lui répond donc calmement:

-Je ne vois pas où je remet en cause votre autorité. Je n'ai rien dit par rapport à cela et je me le permettrais vous faites justes appliquer des règles sortis de nulle part... Que nous les sang méleé, tel que moi ou Cronn, nous ne somme pas les bienvenues, mais on est pas le bienvenue ici, ni à l'Eau, ni à la Terre, ni à l'Air ? Alors où devons nous allez, restez sur les terres neutre et ce cacher comme des pestiféré, non ce n'est pas logique, nous n'avons pas voulu cela, nous n'avons pas choisi d'être des demi-sang ...

Il me regarde, et fait celui qui soutiens mon regard, et moi je me détache de ses pupilles pour poser les miennes sur l'horizon, tout en écoutant ces paroles...

-Le territoire fait partie de la Nature, l'eau, l'air, le feu et la Terre et tout ce qui nous entoure est la Nature, sans cette Nature nous existerions pas... Après nous avons chacun nos opinions et je les respecte. Et sachez que je ne vous tiens pas tête loin de là, je veux juste une discussion calme avec vous sur des point de vue de vie, car si les Maitres font un pas en avant vers nous, et bien vos fidèles feront de même par respect pour vous.
Je n'ai pas souiller votre territoire, je ne fais rien de mal. Je passe. Dommage que vous ne comprenez pas ...

Finir carboniser, non cela me plait guère de finir ainsi, mais il n'y a que nous deux en ce moment dans cet endroit, pourquoi ne nous laisse t'il pas le bénéfice du doute. Pourquoi n'est il pas plus curieux envers nous. De toute façon nous sommes chassé de partout, et en nous écartant tout le temps cela finiras mal un jour...

Décidément, il était buté à ce que je m'en aille, je ronfla des naseaux et l'air se mit balayer un peu plus l’atmosphère, le vent état levé et faisait virevolté nos crin. Je haissai ce genre de spécimen, je haissai leur principe. D'où est ce qu'il décidait de l'endroit où on pouvait aller. Ils ce croient si puissant ces chevaux purs...

-Et bien...

Soudainement, mes oreilles m'alertèrent d'un bruit intense, un galop rapide et vif... Et cela venait droit vers nous. Les oreilles pointé en avant et en sa direction je pouvait sentir un brise légère qui l'accompagnait. Mais bizarrement elle n'avait pas l'odeur pure de l'air. Serait elle comme moi, une bâtarde comme ce Break nous donne pour noms?
C'est une jument, je pouvais sentir son odeur féminine s'approcher, la voici qui viens vers nous au petit trot, et avec ma politesse je la salut d'un signe de tête et lui lance:

-Bonjour demoiselle...

Je la regarde puis plante mes pupilles dans ceux de l'alezan brulé, pour voir sa réaction puis mes pupilles brillante se repose sur la jument pie en ajoutant:

-Permettez moi de me présenté: Adonis, un batard comme ce cher Break et tout les chevaux pur aime me catégoriser...

J'essaye d'identifié la jument, mais je ne les jamais vu. En tout cas, même si je l'avais déjà vu, je n'arrive pas à mettre un nom dessus.

Les yeux de la jument dite Zùfïr se pose sur moi et me regarde intensément, je la regarde de même bien sur. Puis elle lâche le regard et pose ses pupilles sur le cheval du Feu .
Il se présente courtoisement, mais cela ne dure que peu de temps puisqu'il me redemande de s'en aller de son royaume, et que c'était pour sa sureté, je relève les sourcils de "surprise" quand j'allais répondre la jument pie lui envoya une phrase qui me plu, une phrase très intéressante à vrai dire.
Que pouvait il répondre à cela, et qui était elle vraiment, j'avais envie de faire plus ample connaissance avec cette jument qui apparemment étais une sang-mélés tout comme moi. J'émis un petit sourire en coin avant de rajouter:

-Oui je vais m'en aller ne vous en inquiétez, je compte pas dormir ici ! En tout cas, elle n'a pas tord. Je ne vois pas quel crime avons nous commis, citez -nous un être comme nous qui as fait quelques chose de mal?

Ma voix est cordiale et calme, mais c'était tendu entre nous tous. Je voyais la queue de la jument qui fouettais ses flanc intensément, et elle fixait l'étalon alezan d'une façon incroyable.

Nous sauver la vie, j'avais envie de rire. Depuis quand il ce préoccupé de nous. De belle paroles encore, pour qu'il se fassent passer pour un souverain protecteur de tous. La jument semblait de plus en plus agacé par le comportement du Royaliste de Feu. Et elle lacha des paroles froides mais tellement vrai à l'égard de l'étalon.
Et bien, c'est une jument remplit de sagesse, elle est plus vielle que moi mais elle est aussi fière que moi de ces origines.
A l'entente qu'elle est une demi feu et qu'il ne l'avait même pas remarquer, je ne pus laisser échapper un surie en coin. Elle aussi me sourie d'ailleurs, enfin quelqu'un qui à les même idée que moi. J'attend ce jour depuis si longtemps de croiser quelqu'un qui n'a pas peur de leurs règles idiotes.
Je releva les sourcils et ouvrit la bouche pour prendre la parole a mon tour:

-Je pense que Zùfir a tout dit, elle m'a enlevé les mots de la bouche. Et je pense aussi qu'on peux se débrouiller et reste en vie par nos propre moyen face à vos fidèles.

La jument fusillait l'alezan du regard et s'approchait de lui, moi je ne faisait que le toisait,, cela ne sert a rien de ce fatiguer pour ce genre de personne, il verra qu'il a eu un tort un jour de vouloir enchainer les sang-mélés. Car un boomerang reviens toujours à son envoyeur.

L'alezan sortait de ses gonds, et s'enflamma tout entier en quelques secondes. Une vague de chaleur s’étendit autour de lui... La pie recula, par sécurité bien sur, et elle ce planta là face au maitre. Courageuse et fière de ses origines c'est ce qui qualifie cette jument. Elle pose son regard sur moi et sur lui et cela régulièrement.
Je lui lance un dernier regard, un regard qui j'espère elle comprendra.
Et je me plante là à côté de la jument, la tête haute, je demande à l'air de se lever devant nous tel un voile, pour empêcher les flammes d'avancer. Enfin c'est ce que je voulais faire croire car si il le voulait le mettre pouvait s'en servir pour les attiser. Mais n'oublions pas qu'il me reste la terre que je peux invoquer en dernier recours. Comme pour lui montrer que nous n'avons pas envie de nous battre mais que je gardais une certaine "protection" sur nous.
Ce battre pour quoi? Pour quel règles, juste par ce que nous sommes pas comme eux. Je prend énormément sur moi, car ma rage bouillonne.

- Tu te fatigue pour rien Break. Nous sommes plus nombreux que tu le crois nous les sangs mêlées, alors il va falloir que vous compreniez qu'on a notre place ici sur toute ces terres, que nous ne faisons rien de plus mal que vous... Et si le Royaume n'avait pas voulu de Nous la Nature l'en aurait empêcher et nous n'aurions jamais vu le jour...

Il avait choisis de ne pas écouter et de nous chasser. Mauvais choix, car tu le paieras un jour mon ami. Je laissa retomber violemment l'air, abaissant au maximum la brise qui soufflait ici un peu auparavant... Plus de vent juste l'air qui nous sert a respirer... Ah si je pouvais créer des trous d'air ça le calmerais le rouquin là ^^
Il nous fallait choisir le bon moment pour fuir, la jument frappa le sol de son antérieur, et l'étalon de feu ce jeta en avant droit sur nous.
C'est à ce moment précis que je fis sortir du sol des sortes de stalagmites et des fissures, je jeta un coup d’œil à Zufir, il fallait s'en aller maintenant.

Je tourna la tête et en quelques secondes pivota en arrière, il fallait savoir repousser le combat a un autre jour pour pouvoir en être le vainqueur un jour. Cela ne me faisait pas plaisir de fuir mais c'était ainsi.
Je dit juste a Zufir au meme moment:

-Surtout ne te met pas derrière moi, à ma parallèle mais pas derrière...

Et je partis au galop, chaque fois que un de mes sabots postérieurs touché le sol, le choc créer un petit pic ou une fissure pour pouvoir le retarder le faire tomber ou l’égratigner. Mais faire cela en galopant demande beaucoup d'énergie, donc il fallait absolument que ça arrive à le ralentir car il n'aurait pas de mal à me rattraper...